Le CCN condamne les réformes successives de l’État qui détruisent le modèle social français au profit d’un nouveau modèle dogmatique vers une économie ultra libérale portant à chacun la responsabilité de sa santé, de son travail, de sa formation, de sa retraite.
Le CCN rappelle que la grève reste toujours le seul moyen d’expression du rapport de force pour les salariés par l’arrêt total de l’économie quand leurs revendications restent lettre morte.
Aussi le CCN appelle l’ensemble de ses structures à réunir des assemblées générales afin d’informer sur l’ensemble des contre-réformes et à préparer la grève interprofessionnelle dans l’unité la plus large pour les bloquer.
Résolution adoptée le 26 septembre 2019 à l’unanimité.
Texte complet de la résolution : 8 pages en PDF A4 en téléchargement ci-dessous :
Confédération Générale du Travail Force Ouvrière 141 avenue du Maine – 75680 Paris Cedex 14 www.force-ouvriere.fr CCP – Paris 5889 99 x – SIRET : 784 578 247 00040- Code NAF 912 Z
Objet : sauvetage du pavillon français, il y a urgence
Monsieur le Premier Ministre,
En l’espace de trois semaines, deux acteurs majeurs du Transport aérien français, les Compagnies Aigle Azur et XL Airways ont demandé ou été placées en redressement judiciaire. Cette simultanéité n’est pas une coïncidence.
Le SNPNC-FO représente depuis plus de 65 ans les Hôtesses et Stewards des Compagnies françaises ou disposant d’une base d’exploitation en France. Il est aujourd’hui présent dans près d’une vingtaine de Compagnies. Il n’a cessé depuis des années de tirer le signal d’alarme quant aux menaces qui pèsent sur le pavillon français.
Le Transport aérien français est malade depuis longtemps et les symptômes sont connus : une taxation excessive des Compagnies aériennes françaises qui crée une distorsion de concurrence avec celles d’autres États, lourds investissements de sûreté aéroportuaire assuré par les seules Compagnies aériennes françaises, l’implantation “facilitée” des Compagnies étrangères – Compagnies low-cost, mais aussi Compagnies du Golfe qui obtiennent sans aucune difficulté les droits de trafic au départ du territoire national, et surtout un dumping social pratiqué notamment par les Compagnies low-cost étrangères.
C’est ainsi que la tristement célèbre Compagnie ex-irlandaise, aujourd’hui maltaise RYANAIR impose à son personnel des conditions de travail et de rémunération scandaleuses. Nous disposons de feuilles de paye d’Hôtesses et de Stewards exerçant leur activité à temps plein variant entre 270 et 780 euros nets mensuels.
Nous constatons avec regret que l’État français n’a rien fait pour ne serait-ce que corriger cette situation. À l’inverse, il a contribué à sa dégradation. On pourrait attendre de la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC), autorité de tutelle du Transport aérien français qu’elle défende l’application de la législation nationale en matière de temps de travail, contenue dans notre Code de l’aviation civile, contre l’application des normes européennes, cela au nom du principe de Droit français (et international) de l’Ordre public social. Il n’en est rien et toute Compagnie low-cost – dernier exemple en date la Compagnie espagnole Volotea, demandant une dérogation pour appliquer les règles européennes FTL se voit accorder sans réserve une autorisation.
L’Administration française crée ainsi une distorsion de concurrence avec les Compagnies françaises, au premier rang desquelles le Groupe AF, qui respectent le Code de l’aviation civile. S’agissant de la Compagnie RYANAIR, nous avons sollicité début juin un rendez-vous auprès de Mesdames BORNE et PENICAUD, Respectivement Ministre chargée des Transports et Ministre du Travail. Madame PENICAUD nous a dirigés vers le Directeur Général du travail (que nous venons de relancer). Quant à Madame BORNE, nous attendons toujours sa réponse. Et ce ne sont que quelques récents exemples.
Nous avons la conviction que l’État a fait le choix de sacrifier le Transport aérien français en ne jouant pas son rôle protecteur.
Mais aujourd’hui, il ne s’agit plus de parts de marché, ou de marge d’exploitation. Ce sont, à travers l’avenir d’Aigle Azur et de XL Airways, près de 2000 emplois qui sont en jeu dans les prochains jours. En conséquence, nous vous demandons d’inciter les actionnaires de ces deux Compagnies ayant décidé de se retirer, de prendre toutes leurs responsabilités, et que l’État français utilise toute sa puissance pour trouver les moyens financiers pour permettre à ces deux Compagnies de poursuivre leur activité.
La chose n’est pas impossible : ainsi lit-on aujourd’hui que l’État fédéral allemand et le gouvernement de l’État du Hesse ont octroyé à la Compagnie aérienne Condor un prêt de 380 millions d’euros pour prévenir l’insolvabilité de sa maison-mère, le Groupe britannique Thomas Cook, en faillite. N’oublions pas la recapitalisation récente de Norwegian, à coup de plusieurs centaines de millions par des banques publiques. C’est bien la preuve qu’une volonté politique permet de préserver l’emploi et l’entreprise nationale.
C’est pourquoi, nous vous demandons aujourd’hui le même volontarisme pour sauver ces deux Compagnies et leurs personnels. Une telle action de l’État constituerait un geste fort pour les acteurs du Transport aérien français.
Nous vous remercions de votre attention et vous prions de croire, Monsieur le Premier Ministre, à l’assurance de notre respectueuse considération.
L’Unédic publie ce soir les chiffres de l’impact de la réforme de l’Assurance chômage. Et ils sont encore pire que prévu : plus d’un demandeur d’emploi sur deux va être impacté par la réforme, 9% des demandeurs d’emploi vont être exclus du système d’indemnisation, 12% d’entre eux verront leur indemnisation retardée, et 16% verront le montant de leur allocation baisser de près de 20% en moyenne, et pour certains jusqu’à 50% !
FO a déjà maintes fois dénoncé la stratégie du Gouvernement, qui consiste à faire porter des mesures d’économies uniquement sur les droits des demandeurs d’emploi, alors même que la convention d’assurance chômage négociée par les interlocuteurs sociaux en 2017 permettait des “moindres recettes” (aux alentours de 900 millions d’euros par an !), tout en préservant les droits des demandeurs d’emploi et en sécurisant leur trajectoire professionnelle !
FO rappelle qu’avec ou sans réforme, le retour à l’équilibre du régime de l’Unédic est prévu dès le second semestre 2020, avec des excédents en 2021.
Les conséquences de cette réforme vont être désastreuses : les plus précaires voyant le montant de leur indemnisation baisser, quand ils ne seront pas tout simplement exclus du système d’indemnisation ! Les demandeurs d’emploi en activité réduite (cumul emploi et allocation), dont les parcours de travail sont morcelés, souvent victimes des contrats courts, ne pourront plus bénéficier de ce cumul, les contraignant à solliciter les minimas sociaux, ou encore le travail non déclaré. L’Unédic a identifié le profil des allocataires impactés, et il s’agit de personnes plus jeunes que la moyenne des allocataires, dont les droits sont déjà faibles, avec des salaires de référence plus bas !
FO condamne ainsi cette réforme qui est particulièrement injuste et inutile !
Le 23 septembre 209
Michel BEAUGAS Secrétaire confédéral Secteur de l’Emploi et de la Formation professionnelle
Dans un système universel de retraite à points, le risque est grand d’une baisse mécanique du montant des retraites et pensions.
4 exemples comparatifs parent-enfant
LES RÉFORMES DES RETRAITES DEPUIS 1993
1993 – BALLADUR
Passage de 37,5 ans à 40 ans pour le privé. Calcul sur les 25 meilleures années au lieu de 10 pour le calcul du salaire de référence
2003 – FILLON
Alignement du public sur le privé. Allongement de 40 à 41,5 ans
2010 – WOERTH
Report à 62 ans de l’âge légal de départ à la retraite. Report de 65 à 67 ans de l’âge d’annulation de la décote
2014 – TOURAINE
Augmentation de la durée de cotisation de 41,5 à 43 ans (génération 73)
13h30 rendez-vous à Duroc pour le départ de la manifestation métro lignes 10 et 13
À l’issue de la manifestation aura lieu un rassemblement place Denfert-Rochereau avec les interventions d’Yves VEYRIER, Robert VERTENEUIL (Président de la fgtb – belgique) et Domenico PROIEITI (Secrétaire confédéfial uil – italie)
FO a écouté avec attention l’allocution du Premier ministre.
Sans surprise, celui-ci confirme l’objectif du gouvernement de mettre en place un régime unique par points conduisant à supprimer le système de retraites actuel et ses régimes. Or, ce postulat de départ est le point de désaccord de fond pour FO.
Une fois encore, au-delà des régimes dits spéciaux, agités systématiquement pour opposer les uns aux autres, ce qui est appelé à disparaitre est le régime de base de la Sécurité sociale et son régime complémentaire Agirc-Arrco, qui, à eux seuls, concernent la très grande majorité de la population active. C’est à la fois le mode de calcul de la retraite, fondé sur les 25 meilleures années de la vie active et la négociation collective entre les organisations syndicales et les employeurs, auquel il serait mis fin, pour lui substituer un régime unique par points dont le cadrage financier sera défini par les gouvernements demain. Cela conduirait à l’avenir à piloter les retraites en donnant la priorité aux contraintes budgétaires de réduction des dépenses publiques en fonction d’abord de la situation économique et des aléas de la finance.
Le Premier ministre a d’ailleurs été clair : âge pivot ou durée de cotisation, il faudra travailler plus longtemps ou subir une baisse de pension ; l’équilibre, dont on ne sait pas sur quels paramètres devant être réalisé dès 2025. À ce sujet, si l’espérance de vie continue de croître, l’espérance de vie en bonne santé demeure stable à 63 ans, ce qui explique une part de l’augmentation des indemnités maladie en lien avec le recul de fait de l’âge de la retraite.
Les précautions nombreuses prises par le Premier ministre pour assurer le maintien des droits acquis à proportion de la carrière effectuée dans le système actuel ne peuvent que conforter les analyses de FO quant au recul de droits auquel il faut s’attendre avec ce régime unique.
FO tient aussi à “déconstruire” les éléments de communication répétés depuis le lancement de ce projet : le système actuel et ses régimes assurent aujourd’hui un droit universel à la retraite. Ainsi, le seul régime de base de la Sécurité sociale et le Code des pensions des fonctionnaires couvrent la quasi-totalité de la population active et retraitée (plus de 80%).
Le système actuel n’a rien de complexe ou d’illisible. Il s’est adapté à l’évolution du travail. Ainsi tout un chacun, y compris ceux, plus nombreux désormais, relevant de parcours diversifiés, peut aisément connaître sa situation et anticiper ce que seront ses droits à retraite. Avant 2022, cela sera encore perfectionné avec la mise en œuvre du Répertoire général des carrières unique.
Demain avec un régime unique par point, ce n’est qu’au moment de liquider sa retraite, en convertissant le capital de points qu’il aura fallu se constituer y compris durant les périodes plus difficiles (entrée dans l’emploi, petit salaire, temps partiel subi, CDD…) que l’on connaitra le montant de la pension en fonction de ce que sera à ce moment-là la valeur de service du point, dépendant du cadrage budgétaire décidé par l’État.
Certes des situations sont aujourd’hui non satisfaisantes, du fait essentiellement du chômage, de la précarité, des bas salaires et des inégalités durant la vie active, qui frappent plus souvent les femmes. Ces situations doivent être abordées et peuvent l’être dans le cadre du système actuel.
Pour FO, la solution ne passe pas par l’adaptation du système de retraite à cette situation mais demande des politiques économiques qui rompent avec un modèle où l’économie l’emporte sur les droits en matière de protection sociale.
FO note que le Premier ministre a considéré nécessaire d’évoquer certaines des situations et critiques invoquées par FO tout au long de ces derniers mois. Cela ne peut que nous conforter à continuer de porter haut et fort, clairement et précisément, sans relâche, nos analyses qui justifient notre opposition au projet de régime unique par points.
Si le Premier ministre a fait part de sa conviction forte et de sa détermination entière, celles de FO n’en sont pas moindres.
La Confédération donne dans un premier temps rendez-vous à ses adhérents, militants et syndicats le 21 septembre.
Public-Privé, tous concernés par le projet de réforme des retraite.
Soyons nombreux à la manifestation nationale à Paris le 21 septembre !
Depuis plus d’un an et malgré des soi-disant concertations, rien n’a bougé, le projet de réforme sur les retraites est le même. La retraite universelle par points est maintenue. Les 42 régimes de retraite existants seraient détruits. Si ce projet passe, nous serions tous perdants !
La valeur du point recalculé chaque année (avec les conséquences envisageables pour tous) est une escroquerie ! Un régime universel par points et la fin des 42 régimes de retraites entraineraient des pertes considérables de pouvoir d’achat pour tous.
Personne ne croit à la soi-disant “nouvelle concertation” qui ne sert pour l’exécutif qu’à gagner du temps. FO a été claire dans ses positions, d’abord en quittant la première concertation et en disant aujourd’hui qu’une nouvelle concertation ne changera pas la donne. Elle a été claire, en précisant qu’elle ferait tout pour préparer l’unité d’action et qu’elle était prête à la grève pour défendre le système de retraite par répartition et les 42 régimes spéciaux.
C’est pourquoi, elle appelle à participer massivement à ce grand rassemblement et à cette manifestation du samedi 21 septembre 2019 à Paris.
Cette manifestation partira à 13h00 de la place Duroc (face à l’hôpital Necker). Elle passera par Montparnasse pour se rendre place Denfert Rochereau où un grand meeting se tiendra et où les prises de parole du secrétaire général de la CGT-FO, Yves Veyrier, de représentants belges, italiens…démontreront la volonté de poursuivre les combats que nous devons engager pour la défense des 42 régimes de retraite.
La CE de l’UD FO 93 invite tous ses syndicats et tous les militants à se mobiliser pour réunir des milliers de participants de l’Île-de-France aux côtés des milliers de camarades de province qui feront le déplacement ce jour-là dans des conditions souvent difficiles.
Le 21 septembre 2019 Exigeons le retrait du projet de réforme Delevoye-Macron sur les retraites !
SAMEDI 21 SEPTEMBRE 2019 DÉFENSE DE NOS RÉGIMES DE RETRAITES
Une nouvelle “concertation” sur la contre-réforme des retraites vient de s’engager après les derniers “enfumages” sur l’âge pivot et la durée de cotisation pour atteindre une retraite à taux plein.
Le constat est fait que “concertation” ou pas, rien n’a bougé en plus d’un an. La retraite universelle par points est maintenue. Les 42 régimes de retraite existants sont détruits. C’est ça l’essentiel et non les débats sur l’âge pivot et la durée de cotisation. La réalité douloureuse des calculs que nous faisons sur cette contre-réforme c’est bien qu’en bout de course nous pouvons dire “TOUS PERDANTS”.
La valeur du point recalculé chaque année par le gouvernement n’est pas la volonté au final de faire baisser le montant des retraites pour tous.
Ce qui est nouveau, c’est qu’il n’y a pas que le mouvement syndical qui dit que cette contreréforme est “escroquerie du siècle”. Les journalistes ne s’y sont pas trompés puisque beaucoup d’entre eux pointent du doigt les méfaits de cette réforme, dans le même temps où, la donne a changé chez les Français, puisque 66% d’entre eux sont sceptiques et ne font pas confiance à l’exécutif sur l’avenir des retraites.
Cet exécutif est aux abois en cette rentrée et veut une nouvelle fois nous refaire le “coup du grand débat”. Au fait, celui-ci a débouché sur quoi ? Du vent, du vent, et encore du vent ! Pour les retraites, il en sera de même et cela débouchera sur … un régime universel par points et la fin des 42 régimes de retraites entrainant des pertes considérables de pouvoir d’achat pour tous.
Dans le même temps, sans avoir écouté les élus locaux, toujours dans le cadre du grand débat, c’est aujourd’hui la suppression de milliers d’emplois dans les finances publiques qui va contribuer à accentuer encore la désertification du territoire avec des services publics en moins.
Personne ne s’y trompe et les mobilisations annoncées ou qui se poursuivent depuis des mois dans les services d’urgences des hôpitaux, chez les pompiers, s’accentuent encore avec une rentrée scolaire qui n’est pas de tout repos, avec des actions prévues à EDF, à la RATP, chez les cheminots, dans le commerce etc.… Personne ne croit à la soi-disant “concertation” qui ne sert pour l’exécutif qu’à gagner du temps avant les élections municipales qui seront suivies par les sénatoriales avec à l’horizon, la présidentielle.
Il ne faut pas se prêter à la parodie de la “concertation” et des “grands débats” qui sont proposés pour nous endormir.
Il faut être clair et dire d’entrée que nous sommes contre la retraite universelle par points, que nous sommes contre la suppression des 42 régimes de retraite, que nous exigeons le retrait de cette contre-réforme Delevoye-Macron. Elle n’est ni amendable, ni négociable. Nous ne devons pas “accompagnés” l’exécutif et “caler” avec lui quelques points de détail qui ne retireront jamais la nocivité de la totalité de ce qui est proposé.
FO a été claire dans ses positions, d’abord en quittant la première concertation et en disant aujourd’hui qu’une nouvelle ne changera pas la donne. Elle a été claire, en précisant qu’elle ferait tout pour préparer l’unité d’action et qu’elle était prête à la grève sur les retraites.
La CE Confédérale de FO a décidé d’un rassemblement national pour mobiliser les militants et préparer les actions d’envergure qu’il sera nécessaire de mener.
C’est pourquoi, elle appelle à participer massivement à ce grand rassemblement et à cette manifestation du samedi 21 septembre 2019 à Paris.
Cette manifestation partira à 13h30 de la place Duroc(face à l’hôpital Necker). Elle passera par Montparnasse pour se rendre place Denfert Rochereau où un grand meeting se tiendra et où les prises de parole du secrétaire général de FO, Yves Veyrier, de représentants belges, italiens… démontreront la volonté de poursuivre les combats que nous devons engager pour la défense des 42 régimes de retraite et non pour répondre à “l’air du temps” sans affirmer clairement les positions et revendications.
Dès à présent, tous nos militants doivent se mobiliser pour réunir des milliers de participants de l’Île-de-France aux côtés des milliers de camarades de province qui feront le déplacement ce jour-là dans des conditions souvent difficiles.
Le 21 septembre 2019, EXIGEONS LE RETRAIT DE LA CONTRE-RÉFORME DELEVOYE-MACRON
Beaucoup de gens ont rencontré des problèmes pour signer sur la plateforme du gouvernement pour que puisse avoir lieu un référendum d’initiative partagée contre la privatisation d’Aéroports de Paris (ADP). J’ai donc réalisé ce petit tuto pour vous permettre de vous y retrouver facilement. J’y explique chaque étape en remplissant un à un les différents champs du formulaire. L’opération ne prend que deux minutes alors à vous de jouer !
N’hésitez pas à partager cette vidéo sur les réseaux sociaux pour informer sur ce référendum qui reste encore méconnu et pour permettre à celles et ceux qui n’auraient pas réussi à signer de disposer d’un outil pour le faire facilement. .